Mercredi 29
Nous reprenons le metro sur la place Syntagma, puis le bus 95X . C’est également là que se trouve le bureau des objets trouvés où j’espère récupérer mon portefeuille ; pas de chance
L’avion décolle à 16:20, arrivée à Roissy à 18:30, RER à 19:20, et nous retrouvons notre maison a 21:00 (prem’s à caresser Fifi !)

Mardi 28 – Véronique et Mathilde visitent Kamares, je monte a Agia Marina, puis nous préparons nos valises.
L’hôtel réclame 114 € par nuit et par chambre là où Véronique a pris la peine de se faire préciser 114 par nuit, soit 228 au total pour les 2 nuits. Elle tient bon et c’est la fille de la maison à qui elle oppose le fax qui est fort mécontente.
Nous embarquons sur un bateau rapide avec quelques minutes de retard et, comme d’habitude, dans une pagaille certaine. Je remarque que plusieurs dizaines de voitures embarquent, alors que l’ile est plutôt petite, et que les 3 autres fois précédentes, nous n’avions eu que quelques voitures seulement.
Le bateau secoue un peu.
Nous retrouvons notre hôtel, situé pile entre Monesteraki et Syntagma. Nous avons des chambres identiques à notre premier passage, mais nous sommes au troisième étage, cette fois-ci.
Nous partons faire une dernière fois le tour du centre-ville qui se termine par le Mont Lycabete. La nuit est chaude et claire, et la lune nous guide pour le retour.

C’est l’anniversaire de Baptiste. Déjeuner a l’hôtel. Visite de Castro, puis de xxx. Vers 14:00, de passage a Appolonia, nous déjeunons d’un gyros (salade régime pour les parents, à la mythos près).
2 heures de sieste pour les guerriers, visite approfondie de Appolonia pour les filles.
Plage en fin d’après-midi. Dîner dans le meilleur restaurant que nous indiquent les guides pour fêter dignement l’anniversaire de Baptiste. Une terrasse qui domine la ville et la mer.

Lever tôt pour la ferry de 8:40. La mer est aussi calme qu’une vulgaire mare, et je vois deux dauphins sauter.
Sifnos est très montagneuse et nous séduit tous d’emblée. Là encore, nous louons une voiture. La chaleur est vraiment écrasante alos que nous visitons Artemonas autour de midi. Je suis fatigué, et je ne suis pas le seul. Après 2 heures de sieste, nous allons sur la plage : magnifique, dans son théâtre de roche, on a encore pied a 50 mètres du rivage.
Dîner à l’autre bout de l’ile, dans le port du bout du monde éclairé de quelques lampions, après que nous avons vu le soleil se diluer à l’horizon.
Je ramène des arbustes secs.

Samedi 25 – lever (difficile) à 07:30.
Objectif : le sommet de l’ile. Un peu en retard, nous laissons la voiture au parking dans le village pour suivre la route. Nous sortons de la route. Bavante. Zizanie quand le chemin se fait incertain et envahi d’herbes. Demi-tour. Après avoir repris la route, nous progressons encore 20 minutes mais Véronique + les deux petits bavent/ralent. Je redescends en courant chercher la voiture (17 minutes) achète des boissons à bulles impériales et les récupère alors qu’ils sont à moins de 5 minutes du col.
Vue sur toute l’ile. Retour par l’autre côté dans des chemins de terre.
Déjeuner dans le second restaurant de la plage.
L’après-midi, je repars seul pour grimper le tas de caillou. Retour a 18:00 comme prévu
En route pour Parikhi, nous passons par le petit volcan Kefalo que la voiture ne parvient pas à gravir jusqu’au bout.

Nous partons à pied pour la golden beach, réputée la plus belle plage de l’ile. Une petite heure de jolie promenade, un mètre au-dessus des flots, de crique en crique. Nous profitons d’un parasol en feuilles tressées et de deux lits de plage, et nous regardons les petits poissons avec les masques que j’ai fini par acheter en nombre, tant leur engouement est grand.
Tout le monde rentre finalement à pied pour se retrouver autour de la grande table sur la terrasse ombragee : 1,5 l de sprite, 1,5 l de coca light, 1 l d’eau, 1 l de jus de fruit ; nous avions très très soif !
Vers 18:00, nous repartons pour visiter Naoussa. La petite ville est réputée très (trop) touristique selon nos guides. Pour notre part, dans la belle lumière du soir, nous la trouvons accueillante. Beaucoup de boutiques de fripes, certes, mais c’est une vraie ville, avec son port doublement abrité, et son ruisseau qui la traverse et coule encore. Il règne dans le vieux port où reposent les bateaux des pécheurs une atmosphère de fête locale avec toutes ces tables qui attendent les convives et les équipes de service qui s’activent à la préparation.
Nous montons diner a Lefkes, et en profitons pour compléter notre visite du village.

Jeudi 23 – lever tardif : les enfants disent adorer dormir tard le matin. Nous sommes prêts a 12:30, après avoir fait cuire une douzaine d’oeufs.
Plage, cache-cache dans l’hôtel, cartes magic, lecture, sieste pour Mathilde qui a mal au ventre.
Nous appelons Thierry, qui a de bonnes nouvelles. Julien va partir une semaine en camp organisée par l’hôpital, les doses de coticoides ont été diminuées.
Nous partons vers 16:00 pour Lefkes, d’ou nous rejoignons Prodromos, Marmara et Marpissa par l’ancienne voie byzantine. Là, nous nous séparons ; je retourne chercher la voiture a Lefkes. 1 km et demi plus loin, aucune des 50 voitures ne m’ayant pris, je décide de reprendre le
monopati.
Je rentre comme la nuit tombée, puis nous partons dîner dans le port de Pisso Livadi qui occupe la crique adjacente.

Mercredi 22 – lever 09:30. Deux heures plus tard, nous quittons en procession les lieux pour la bateau de 12:40.
Arrivés a Paros, nous louons une voiture sur le port gentiment venté, visitons la ville sous le soleil, déjeunons chez le tunisien que le routard surfait, finissons le tour de la ville, puis rejoignons Logara. Une petite plage que la vue depuis notre terrasse prend en écharpe. Dîner sur la plage chez Fisilanis.

Jeudi 23 – lever tardif : les enfants disent adorer dormir tard le matin. Nous sommes prêts a 12:30.

Lever tard, départ mou pour les plages du sud.
Pistes poussiéreuses et lopins de terre habités de touristes locaux
Plage
Au nord de Chalki

Lundi 20 – lever 10:00
Nous ne voulons pas nous retrouver a marcher sous le soleil entre 12:00 et 16:00, aussi faisons-nous le tour de la partie nord de l’ile au rythme de notre moteur poussif.

Mardi 21 – lever 7:15
A l’assaut du mont Zas, 1001 m
Depart 8:15. La promenade est magnifique. Un peu de vent furieux sur la fin.
Dejeuner a xxx, là où les gens viennent d’Athenes ; carte courte mais bonne. Nous rendons la voiture a 14:30 ; 30 minutes de retard sans conséquence.
Sieste pour moi, courses pour les filles, télé pour les garçons. Vers 17:30, j’accompagne les deux petits hommes à la plage. Je les laisse encore 1/2 heure dans la lessiveuse des vagues de 3 pieds de haut.
Nous sacrifions ensuite au rituel de la promenade de la porte antique au-dela de laquelle le soleil se couche.
Je ne vais pas écouter le concert de guitare qui me disait bien pourtant. Diner au mexicain branché prés de chez nous.

rdv à 11:00 sur la plage.
Dominique et Catherine partent pour Mykonos a 13:00.

Nous louons une voiture
Promenade a Chalki, dans des chemins creux peuplés d’araignées.
Citron local, qui ressemble à un pamplemousse grelé de boutons cicatrisés.
Diner de l’autre côté du port